jeudi 27 décembre 2018

Poèmes fondus / 46







l’ossature fatiguée par les sourires
les cheveux empêchés par la mélancolie
le buste possédé par les draps
l’heure superbe de mourir
cherche la chair écriée
jeune sein
taille troublée

en silences minces
le plus noir bandeau reposera le regard
le visage oubliera son enfant
par là le solide pleure








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