vendredi 26 mai 2017
L'attente / 24
24 comme 24 heures dans une journée, comme Vingt-quatre heures de la vie d'une femme de Stefan Zweig dont lecture achevée ce matin (ce Zweig quand même, quel art de dire et redire la pulsion, le vertige, l'irrationnel).
24 comme le jour où publiée L'attente 23.
On peut continuer comme ça à n'écrire rien sur rien de vraiment intéressant sur rien qui vaille la peine qu'on a sur rien qui occupe tant l'esprit et les tendons sur rien rien rien.
Aujourd'hui, le 26, attendre le 29 où précisions et décisions seront données formulées prises lancées. Un branle-bas de combat en somme.
Sommes-nous des bêtes de somme?
Indéfiniment?
Attendre que l'écriture prenne en charge tout ce poids?
Ecrire sur sa petite cour?
Sur sa caravane?
Sur ces projets, tous stoppés net?
Sur ce poste d'enseignant qu'on va te refuser dans quelques jours (probablement) parce que tu ne corresponds pas au modèle du prof de théâtre classique (ta gueule l'écriture l'atelier la recherche la pratique avant la théorie la diversité de ton parcours que tu as dû justifier comme un boulet inclassable stop)
Ecrire sur soi?
Pour soi?
Pour rappeler le cœur flippant de la vie?
Publier? Facebooker? Blogger?
Quel libellé?
L'attente?
Journal?
Moi moi moi?
Bordel?
ou
Correction des épreuves?
Dans la face les épreuves et pile le reste.
https://www.youtube.com/watch?v=SY8j9c3iO5s
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