d'après "Nous avons toujours vécu au château" de Shirley Jackson, éditions Rivages Noir
grouillent de surprises
le préla pinède
l’herbe
quand
constamment j’assèche
divisé
lâche de trésors jamais
tissés
souterrain de joyaux jamais
grandis
à mesure
vastesles journées
enterrent
leurs plaisirs
et moi complètement moi
lucide d’êtremort
d’être souvenir
cédé
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