allons au sommet
mains comme lettresen route
dos froids qui supportez
sèches fumées poudreuses
contournons le châtiment
portons les formes à nous faire mal
honte gueulée en poche
là où peurs gèlent debout
des crayons tourbillonnent
cochons aux oreilles brillantes
des princes pleurnichent
sur les grands
les petits soufflentdisent c’est trop disent c’est assez disent soldats arrière disent personne ne nous
personne
au cimetière princes comme cochonsombres
au trou