dans l’immobilité furieuse
je t’enveloppe encore et nos douceurs luisent
le dehors a fixé le soir
dans l’immobilité muette
je t’extase encore et nos os s’écoutent
les arbres ont traversé le crépuscule
dans l’immobilité absurde
je te déambule encore et nos aiguilles tombent
les jardins ont fixé les oiseaux
l’air
le mondeles fleurs
quelques-uns
statues de pénombre
errent
moi-même
encore dans l’intolérable
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire