je cours de cicatrice
en cicatricene vivant plus que par lignes éraflées
l’haleine malmenée
gonflé au non
sans désir grand
à l’arrêt
à maintenir intact
l’à peine de ma peau rompueà perdre tant le léger
l’arrêt du nous nous étions aimé
s’est proclamé
je m’oppose
envenimé de toil’étonnement
auparavant vivace
est fini
je surveille les jours de rien
les bras lissessans amour
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