la musique me souille
la blanche m’aveugle le chemin des yeuxla noire me fouette le tremblé des lèvres
la bleue me déchire la vie du ventre
la rouge me désempare la valse des os
notes airs mélodies
vives nauséesbrûlures sucées
montez
criez
lancez
à gros jets
bêtes abominables
taches boutons
gisez musiques
voilà le puit
crapaud du baslarge
il appelle
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