Après une pause de quelques temps consacrée à la préparation et à l'animation d'ateliers d'écriture en Normandie au festival Pirouésie, reprise du travail de mémorisation... C'est là qu'on voit que les neurones ne sont plus de toute première fraîcheur et qu'il faut bosser et bosser encore. Mais enfin, les dernières pages se profilent et le jeu, la recherche dans l'espace va pouvoir commencer. L'espace de jeu est définitif et le sol sur lequel je vais jouer est acheté et découpé... Il faut encore peindre les chaises, trouver un costume et réfléchir à la question des lumières et du son. Le tout devant s'installer facilement chez des particuliers.
Ce travail de mémorisation est d'autant plus compliqué que j'ai réalisé une seconde adaptation plus courte (30 minutes) destinée à être présentée dans les écoles avec une animation à la clef. C'est Valériane De Maerteleire (oeil extérieur sur le spectacle) qui m'a proposé ce projet, pensant que les thématiques du spectacle (le refus, la désobéissance, l'exclusion, la différence) peuvent trouver écho auprès des étudiants. Cette version en classe sera lue car impossible que j'intègre dans mon cerveau deux versions différentes du texte. De toute façon, c'est le principe de ces animations : lecture puis discussion avec les élèves. Il n'empêche, je dois jongler entre des formulations du texte différentes. Nous présenterons ce projet pour les écoles aux responsables de Pierre de Lune, centre scénique jeunes publics, le 14 septembre. Si ça leur plaît, ils soutiendront et diffuseront le projet. Je répète donc en ce moment cette lecture tout en répétant déjà la version théâtre... Travail d'équilibriste...
Comme pour toute création, il faut communiquer... Donc, il faut un visuel. N'étant ni graphiste ni expert en programme de mise en page sur ordinateur, je me suis quand même lancé tôt ce matin dans un essai sur le programme Canva. Je suis arrivé à un résultat simple, sans folie certes, mais pour une première communication, je me suis dit que ça passerait. Je cherchais une silhouette de personnage reclus sur lui-même et je me suis souvenu des dessins de Kafka. J'ai donc emprunté à Franz son personnage d'homme assis dans ses pensées. Merci Franz! Quant aux briques rouges, elles font partie de l'histoire mais n'en dévoilons pas trop...
A bientôt pour la suite...
Bonne idée les écoles, j'applaudis !
RépondreSupprimerDéjà des applaudissements... :-) Bises
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